Personne souffrant d’une addiction aux grands espaces gelés. Ce syndrome a été repéré dès l’antiquité grâce aux vestiges architecturaux dédiés à quelques grandes figures de l’époque.

Se dit au sujet de personnes avares de mots, soit qu’elles aient un esprit synthétique, introverti, ou que l’indigence de leurs facultés ne leur permettent pas d’exprimer un discours élaboré. La conséquence de cet état de fait est qu’elles manquent d’exercice et ont une nette tendance à l’embonpoint.

Militaire de carrière, souvent chargé d’une part, de l’instruction des recrues, et d’autre part, de substances éthyliques qu’il ingère de façon chronique, journalière, voire horaire.
L’adjudant, comme tout bon militaire, possède en général un quotient intellectuel équivalent à celui d’un petit animal ovipare de l’ordre des gallinacées, communément appelé poule. La poule, à l'instar de l'adjudant, a soit dit en passant quelques circonstances atténuantes, ayant un plus petit corps et une plus petite tête (le tout étant bien conçu et harmonieux) et donc une capacité cérébrale physiologique moindre.

NB : Dans la hiérarchie vestimentaire et décorative de l’armée, l’adjudant possède un uniforme plus joli qu’un soldat de première classe mais beaucoup moins joli qu’un général de division.

Situation embarrassante créée par un décalage entre un certain niveau de maturité et une régression au stade anal qui, comme on le sait, trouve une certaine satisfaction à jouer dans les bacs à sable, ou autre endroit naturellement pourvu de terre, voire de boue… Les sujets pris en flagrant délit (en général dès 6h du matin par un représentant de l’administration judiciaire) doivent faire preuve d’une imagination débordante pour expliquer le pourquoi de leur tenue légère en cette circonstance, ainsi que leur fréquentation peu recommandable qui a tendance à filer dans une armoire ou sous le lit, endroits vite repérés comme peu fiables.

Léger stylo qui permet d’entretenir sa forme.

Personne qui arrive à faire des bulles de savon en forme de « F » mais que personne ne veut croire.

Individu pourvu d’un œil de verre et vociférant des inepties dans les débats politiques en tentant vainement de ravaler la bave qui lui coule sur le menton.

Grand oiseau gargouillesque reconnaissable à son noir plumage et à son ramage lugubre.

Sous-vêtements d’origine féminine destinées, par leur caractère stylisé, à créer une propension à l’érotisation et aux charmes qui rendrait sexy la plus robuste des montagnardes autrichiennes originaire du Frioul. Les tenues affriolantes ont été sans le savoir à la base de la création de la psychanalyse et ceci grâce au fait que la mère d’un certain Sigmund F. l’obligeait, dans sa plus tendre enfance, à en porter secrètement.

Se dit à propos d’un individu simple d’esprit qui a perdu sa joie de vivre.