Rivière de Biélorussie rendue célèbre par la déculottée monumentale subie par la grande armée de Napoléon Premier lors de la campagne de Russie. Après ce revers tumultueux et sanglant, le petit homme à qui importait peu la vie de milliers d’autres, garda malgré tout sa culotte, ses ulcères et sa misérable vie d’orgueilleux empirique et pathologique alors que plus de 600 000 hommes périrent de l’autre côté de la Bérézina, ainsi que 200 000 chevaux, ne l’oublions pas.

Bestah est un prototype de palindrome inventé en 1975 par Georges Pérec. Malheureusement, le mot ne possédant pas les qualités requises pour espérer figurer dans la classe des palindromes, il tomba en désuétude rapidement. Pérec insista et inventa quelques jours plus tard le fabuleux Bestahatseb, qui lui, fut promis à un merveilleux avenir palindromique.

Nom affectueux et émouvant donné par les personnes portées sur les boissons fermentées à base de houblon, d'orge ou autres graminées, à des compagnes d’infortunes de passages qu’elles soient blondes, brunes, ou rousses…

Double jeu.

Vent doux et léger, ayant l’étrange faculté de réchauffer l’atmosphère au lieu de la rafraîchir.
Le bisou chasse efficacement les nuages et la grisaille des cœurs en soufflant de façon souvent multiple sur les versants humains exposés naturellement à son passage, c'est-à-dire le plus généralement sur la partie faciale de l’individu, plus précisément d’un point de vue anatomique de chaque côté de la bouche, voire même en son centre, si l’échange se fait encore plus doux et réchauffant et que la bise souffle avec intensité et palpitation dans les deux cœurs réunis.
À l’inverse du « grisou », son taciturne collègue laissant vagabonder ses humeurs noires dans les mines de charbon, grand broyeur et pourfendeur de lèvres, de poumons, d’os et de chairs humaines ayant de surcroît et pour des raisons obscures une préférence morbide pour la catégorie prolétarienne, «le « coup de bisou » lui, ne veut que le bien des hommes, la paix dans les chaumières et dans les poitrines, ne faisant voler en morceaux que les tristesses et les chagrins.

Terme emprunté au germain et non rendu depuis, employé pour désigner une couleur qui n’est ni rouge ni jaune mais qui, au même titre que celles-ci, fait partie des couleurs primaires.
Le bleu est la couleur du ciel quand il est azur et dégagé, couleur de la honte quand il est porté par les joueurs de football Italien ou Français, couleur des maux de l’âme et du cœur quand il est image poétique, et couleur des contusions et des traumatismes musculaires quand il tire sur le violet avant de virer au jaune foncé et au vert…

1) Onomatopée répandue chez les adolescents de tous pays. "T'as un blog ?"
Signifie littéralement : j'ai une vie des plus ennuyeuses et, pourtant, je me sens obligé de la raconter à tout le monde.

2) Espace personnel d'expression virtuelle. Cependant prête à confusion : la liberté d'expression touche ici à ses limites ! Doit-on vraiment lire les aventures de Kévin et Sabrina sur la Toile?

3) Espace pornographique virtuel. Le blog est à la masturbation ce que le téléfilm érotique de la sixième chaine est à la pornographie.

1/ acte non répréhensible qui consiste à regarder les choses par le prisme du rhume.

2/ acte non répréhensible qui consiste à vider un contenant de son contenu, par extension on peut boire un verre d'où l'invention de la métonymie qui est à la figure de style, ce que la tendresse est à Joey Starr avec les singes.

3/ acte répréhensible qui consiste à regurgiter le contenu après un abus.

1/ Sorte de chapeau totalement ridicule qui sied pourtant aux chevaux plus qu'à ceux qui les montent.

2/ Arme redoutable, quand elle contient de la chantilly. Très souvent la bombe à chantilly sert à fabriquer une arme de distraction massive : la tarte à la chantilly, qui elle même servira à ridiculiser les grands de ce monde.

3/ Torse que le militaire manchot met en avant pour recevoir une médaille pour sa bravoure, lors du déminage manqué d'une bombe.

Célèbre bande d’anarchistes du début du vingtième siècle qui, à la différence de la « bande à Basile », autre bande qui écumait le territoire à la même époque, ne se servaient pas de disques ou de chansons pour mettre hors d’état de nuire le bon citoyen, mais d’armes à feu comme les révolvers. Ce type d’arme avait le mérite de provoquer une mort rapide, dans la plupart des cas, ce qui n’est pas toujours vrai des tubes musicaux de la « bande à Basile ». La « bande à Bonnot » comme « La bande à Basile, exerçait sa profession (illégale et répréhensible) pour de l’argent. Sur ce point, les historiens s’accordent à dire que « la Bande à Bonnot » a plutôt mieux réussi que « la bande à Basile ». Mais cette réussite a été aussi l’origine de leur perte, car leurs activités principales, en plus de trucider le passant lambda (ce qu’on aurait pu leur pardonner) était le pillage de banque (ce qui par contre, est impardonnable et impitoyablement puni)…